Bonjour,
Pourquoi ne fait-on pas comme Grenoble ? Ils ont réussi à complétement supprimer la pub de leur espace public !
Ils n’ont pas supprimer les abribus, c’est dans le mobilier c’est moins gênant, mais les sucettes ça ne sert à rien. Et il faut voir ce qui est affiché : alcool, voiture, banque, … que des secteurs avec beaucoup d’éthique !
Il ne faut pas s’étonner que nous ayons une génération sans rêve, peu responsable, abrutis devant sa TV… si l’on nous met toujours devant les yeux des publicités qui exploitent nos points faibles et les accentuent. Ce n’est pas ça les valeurs que l’on doit véhiculer en tant que pouvoir public !
A grenoble je crois 50% de l’espace publicitaire réservé aux commerçants locaux, c’est déjà mieux ça…
La présence de panneaux 4×3 en ville est une aberration esthétique.
C’est notamment le cas pour les deux panneaux publicitaires au croisement de l’avenue Joseph Claussat et de la rue Jules Guesde : un sapin a été planté et ce dernier cache maintenant les panneaux ! il est urgent d’enlever cette pollution visuelle au sein de l’agglomération.
Il y a encore des panneaux illégaux dans l’agglo. Ça serait déjà bien de faire respecter la réglementation. Et le pouvoir de police des maires c’est fait pour quoi ?
Il faudrait qu’il y ait une réelle volonté politique de faire respecter la loi dans un premier temps.
A l’approche de la visioconférence sur le RLPi organisée ce vendredi 7 mai et à laquelle je participerai, voici quelques réflexions personnelles sur le sujet.
La publicité est partout, je suffoque !
Les enseignes publicitaires encouragent la surconsommation de produits inutiles, et leurs installation-fonctionnement sont dévoreurs d’énergie, de jour comme de nuit,
Les messages affichées sur ces enseignes portent atteintes à notre vivre ensemble (culte de l’apparence, violence, sexisme…)
Ces enseignes polluent et parasitent notre cadre de vie.
Je rêve d’une ville avec des arbres plantés à la place des panneaux publicitaires et qui nous aident à mieux respirer,
Je rêve d’une ville économe en énergie où le mot « Sobriété » est devenue le slogan
Je rêve d’une ville où les habitants se comprennent et s’apprécient,
Je rêve d’une ville où le bien-être public prime sur les intérêts financiers de quelques uns,
Je rêve d’une ville où je me sente bien, une ville prête à accueillir sainement et pacifiquement les générations futures.
Fastoche ! et si la suppression de ces omniprésentes enseignes publicitaires participaient à la réalisation de mes rêves ?
Merci de nous donner la parole.
Je souhaite aborder le sujet de l’affichage publicitaire à proximité des écoles. Ma fille va à l’école Jean Zay à Clermont Ferrand. Nous y allons à pied tous les jours et sur ce chemin de 700m seulement nous sommes soumis à 3 panneaux publicitaires !! Effarant n’est ce pas ?? le pire est que 2 panneaux publicitaires sur 3 sont visibles depuis les couloirs de l’école primaire. Je suis personnellement choquée qu’on ne préserve pas nos enfants de ce genre d’agression visuelle. J’espère que la ville intégrera ce sujet pour épargner nos enfants de tous ces messages à la consommation.
C’est le projet stratégique des élus pour le RLPi de Clermont Auvergne Métropole. Il traduit les orientations générales retenues pour l’ensemble du territoire à partir desquelles seront définis les outils qui permettront de le mettre en œuvre (zonage, règlement).
Le diagnostic publicitaire est une photographie du territoire de Clermont Auvergne Métropole sous le prisme des publicités, des enseignes et des pré-enseignes. Cet état des lieux permet de recenser le nombre de dispositifs, leurs formats, leurs emplacements, leurs impacts qualitatifs sur le cadre de vie etc. Le diagnostic publicitaire est le constat sur lequel Clermont Auvergne Métropole va pouvoir identifier les enjeux du RLPi.
Concernant la publicité et les pré-enseignes, le diagnostic a permis d’identifier :
Des petits formats en centre-ville
Un patrimoine bâti parfois masqué par les dispositifs
Une publicité numérique en hausse
Des entrées de ville impactées par les grands formats.
Traiter de manière uniforme l’affichage dans la couronne d’espaces naturels.
Proposer des restrictions fortes en terme de possibilités d’affichage pour les espaces les plus sensibles.
Garantir la visibilité et l’attractivité des activités touristiques et artisanales.
Veiller au maintien des possibilités d’affichage des services de proximité dans les centres bourgs.
Prendre en compte les ambitions du label UNESCO : valoriser les vues sur la Chaîne des Puys et la Faille de Limagne.
Réduire l’impact des dispositifs publicitaires qui viennent perturber les vues sur le grand paysage.
Préserver la biodiversité des pollutions lumineuses en aménageant des secteurs exempts de dispositifs lumineux.
Limiter le recours aux dispositifs énergivores (numériques, lumineux).
Concernant les enseignes, le diagnostic a permis d’identifier :
Beaucoup de grands formats en zones d’activités
Peu de cohérence d’ensemble dans les zones d’activités
Une forte densité le long des grands axes
Des zones résidentielles impactées
Un impact sur les ambiances
Des enseignes harmonisées dans certaines zones commerciales
Des codes architecturaux des centres-villes respectés