1.Les paysages et le patrimoine naturel emblématique : une identité à préserver
Affirmer l’image d’un territoire de nature en mettant en œuvre des mesures de protection sur tous les espaces naturels…
Traiter de manière uniforme l’affichage dans la couronne d’espaces naturels.
Proposer des restrictions fortes en terme de possibilités d’affichage pour les espaces les plus sensibles.
…tout en permettant la visibilité des activités de proximité
Garantir la visibilité et l’attractivité des activités touristiques et artisanales.
Veiller au maintien des possibilités d’affichage des services de proximité dans les centres bourgs.
Préserver les vues vers les sites emblématiques du territoire métropolitain
Prendre en compte les ambitions du label UNESCO : valoriser les vues sur la Chaîne des Puys et la Faille de Limagne.
Réduire l’impact des dispositifs publicitaires qui viennent perturber les vues sur le grand paysage.
Conforter notre engagement dans la préservation de la biodiversité et la lutte contre le changement climatique
Préserver la biodiversité des pollutions lumineuses en aménageant des secteurs exempts de dispositifs lumineux.
Limiter le recours aux dispositifs énergivores (numériques, lumineux).
2.Les espaces urbains, d’activités et les grands axes : une attractivité à valoriser
Maîtriser les pratiques d’affichage aux abords des grands axes routier pour valoriser les vitrines du territoire, images de la métropole
Aller au-delà de la Règlementation Nationale de Publicité et réduire la densité des dispositifs publicitaires aux abords des axes structurants.
Éviter les effets de « corridors publicitaires », notamment en entrée de ville.
Améliorer la qualité des dispositifs d’affichage et maîtriser leur nombre afin d’améliorer la lisibilité et l’attractivité des zones d’activités économiques
Rationnaliser l’affichage dans les zones d’activités économiques en améliorant l’existant et en recherchant une certaine intégration architecturale des enseignes dans le gabarit des bâtiments.
Uniformiser les pratiques d’affichage aux abords des lignes de transports en commun, axes structurants de notre territoire
Favoriser un affichage qui s’inscrit dans le paysage urbain et dans les pratiques de mobilités : adapter l’affichage au piétons.
Permettre l’émergence de nouvelles technologies d’affichage dans le respect des ambiances urbaines, des sensibilités environnementales, paysagères et patrimoniales.
Confirmer la continuité écologique du territoire en réduisant la pollution lumineuse
Proposer un cadre pour un affichage lumineux cohérent avec la structure écologique : définir des zones préférentielles pour l’implantation de dispositifs numériques…
Mettre en place des horaires d’extinction des dispositifs en cohérence avec l’extinction de l’éclairage communal.
3.Les espaces du quotidien, patrimoine et centralités : des qualités à conforter
Préserver le caractère des espaces patrimoniaux et des cœurs de bourgs tout en permettant l’animation de ces espaces du quotidien
Restreindre et veiller à la qualité des dispositifs d’affichage dans les secteurs patrimoniaux.
Respecter l’identité historique de tous les cœurs de bourgs et de ville.
Maintenir les ambiances apaisées dans les espaces de vie quotidiens
Confirmer les espaces de nature en ville comme lieux de détente pour les habitants de la métropole grâce à un cadre règlementaire exigeant.
Restreindre la présence des dispositifs lumineux et numériques dans les secteurs denses.
Préserver de manière adaptée le cadre de vie des zones d’habitat
Donner un cadre homogène (notamment pour les publicités et pré-enseignes) pour les secteurs à vocation d’habitat sur tout le territoire de la métropole.
4.Sur l’ensemble du territoire de la métropole : des points communs à affirmer
Instaurer des règles de qualité esthétique pour harmoniser la perception des dispositifs publicitaires et des enseignes sur l’ensemble du territoire
Aboutir à un affichage qui s’intègre dans les espaces concernés en termes de formats, de matériaux, de couleurs… et qui soit homogène à l’échelle de la métropole.
Définir un format d’affichage maximal pour limiter l’impact visuel des publicités et des pré-enseignes
Sur l’ensemble de l’espace aggloméré, réduire les formats 4*3 mètres.